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Mon projet, c'est la relaxation
en hippothérapie. Il est le fruit de mon parcours

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Mon intérêt pour le sujet de la relaxation et du stress n’est pas nouveau. Il est lié à un parcours professionnel singulier, une ascension rapide jusqu’aux plus hautes sphères d’une multinationale dans la finance.

 

Je me souviens d’une époque où je gérais une équipe déployée sur plusieurs fuseaux horaires. Elle tournait pratiquement en permanence, moi aussi. Tout allait très vite, tout le temps. Un jour j’ai sorti la tête de l’eau et j’ai regardé autour de moi. Tout ça n’avait aucun sens.J’ai décidé de tout quitter et de changer de vie.

 

J’ai un doctorat en agitation mentale, un master en stress et une expérience significative en troubles du sommeil. Si le sujet de la relaxation m’intéresse autant c’est parce que je suis le premier à en avoir besoin, en permanence. J’ai été livré avec un cerveau supersonique. Une machine impressionnante et épuisante. Elle est dépourvue de freins. Un don. Une malédiction.

 

J’ai mis des années pour trouver le calme. Mon agitation mentale est toujours présente mais j’ai appris à la maitriser. La plupart du temps j’y arrive plutôt bien. Je suis outillé parce pendant des années j’ai exploré et expérimenté de nombreuses techniques de relaxation. Chacune m’a apporté quelque chose. C’est dans la sophrologie que j’ai trouvé ce que je cherchais, ce qui me convenait. Je me suis formé à la sophrologie dynamique pendant deux ans. A cela est venue s’ajouter une rencontre qui allait changer ma vie : les chevaux. J’ai découvert à quel point ils peuvent être apaisants, tolérants, attachants.

 

Mon projet aujourd’hui est de vivre autrement, en pleine nature, avec les chevaux. Ce que j’ai appris sur mon parcours j’ai envie de le partager. J’ai envie d’allier hippothérapie et relaxation.

 

Pour me doter des compétences nécessaires, je me suis inscrit à la formation universitaire en hippothérapie organisée par la Ferme équestre de Louvain-La-Neuve en collaboration avec l’Université Catholique de Louvain (UCL). Compte-tenu du nombre de candidats, je peux considérer que j’ai eu la chance d’être accepté dans ce programme.

 

Pour le compléter, j’ai également décidé de me former à l’orthopédagogie. En effet, il est important pour moi de disposer des outils et des connaissances nécessaires pour accompagner les publics qui sont pris en charge en hippothérapie. En entrant dans le milieu, j’ai observé que c’était rarement le cas. Je me suis donc dit que cela aurait beaucoup de sens.

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